Soirée de lancement pour mon 1er roman à la librairie NordEst

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Soirée de lancement pour mon 1er roman à la librairie NordEst

Rendez-vous jeudi 2 mars 2023 à 19h pour la soirée de lancement de « Pourvu que mes mains s’en souviennent », mon 1er roman publié chez Belfond le même jour. Ça se passe dans la très belle librairie NordEst, à Paris. A vos agendas !

Crédit : La librairie NordEst.

Belfond publie mon premier roman le 2 mars… Quoi de mieux qu’une soirée de lancement le jour J dans une belle librairie indépendante située en plein Paris ? J’ai le grand plaisir de vous inviter jeudi 2 mars 2023 à 19h à la librairie NordEst. L’adresse est centrale et facile d’accès : 34 bis rue de Dunkerque, 75010, Paris (Métro : 2, 5, 4 et 7. RER : B, D et E). La soirée commencera par une rencontre-débat menée par Magali Langlade, directrice littéraire fiction française chez Belfond, puis suivront une séance de dédicaces et un verre. L’occasion de parler de « Pourvu que mes mains s’en souviennent », de littérature, d’écriture, de livres et de (re)découvrir cette librairie indépendante, généraliste, chaleureuse et élégante tenue par Charline Vincent-Lucas (voir l’interview ci-dessous).

Crédit photo : Quentin Ebrard/ La librairie NordEst.

L’histoire de ce roman à découvrir en avant-première lors de la soirée…

On ne sait pas bien ce qu’il se passe dans ce château cerné par des champs de tournesols, non loin des falaises, cette étrange colonie de vacances. Des choses mystérieuses, angoissantes. Certains pensionnaires sont là de leur plein gré, on pourrait croire depuis toujours, d’autres ont été arrachés à leur famille. Louise sait qu’elle a été kidnappée et n’a qu’une obsession : retrouver ses parents. Avec une grande détermination et l’aide de deux camarades, et alors que les monos rôdent, elle va tout tenter pour quitter cet enfer. Mais peut-on faire confiance à Louise ?

4 questions à Charline Vincent-Lucas

Pouvez-vous présenter ?

Je m’appelle Charline Vincent-Lucas, je suis co-propriétaire – avec Marine Boutin-Etchecopar – de la librairie NordEst à Paris depuis cinq ans. Cette dernière a été totalement rénovée il y a un an et demi, ce qui a beaucoup séduit dans le quartier. Nous sommes indépendantes et généralistes. Ici, vous trouverez du roman classique et contemporain, mais aussi du policier, de l’essai, du manga, du roman graphique…

Pourquoi êtes-vous devenue libraire ?

C’est un hasard. J’ai commencé ma carrière dans l’édition, chez Robert Laffont en stage, puis en presse. J’ai ensuite travaillé pour les éditions de L’Olivier, j’étais notamment en charge des relations avec les libraires, j’ai beaucoup échangé avec eux, et j’ai peu à peu bifurqué dans cette direction. J’y suis depuis près de 20 ans maintenant. Ce que j’aime ? C’est d’être libre, de ne plus avoir de compte à rendre.

Vous organisez souvent des soirées de lancement ?

Nous sélectionnons. Nous n’en faisons qu’une ou deux par mois, un peu plus lors de la rentrée littéraire de septembre. A Paris, ces soirées sont parfois compliquées pour un romancier. Il peut y en avoir plusieurs au même moment. La concurrence est forte. Pourtant, elles font de l’animation, c’est positif pour nos clients. Les auteurs en profitent pour inviter leurs proches, leurs réseaux et passer un bon moment.

Avez-vous aimé « Pourvu que mes mains s’en souviennent » ?

Je me suis fait avoir en beauté par ce premier texte plein de promesses… Une montée en puissance, de la tension – mais que se passe-t-il vraiment dans cette colonie ? – qui vous prend jusqu’à la dernière ligne !